
La plupart des gens passent leur vie sans jamais se poser de questions, sans prendre le temps de réfléchir au sens de cette traversée.
Combien d’entre nous « habitent » réellement leur vie?
Combien vivent en conscience de leurs pensées, émotions ou de leurs actes?
Le plus souvent, la vie n’est que « consommée », les étapes s’enchaînent (l’enfance, l’adolescence, l’âge adulte, la ménopause, la retraite) sans que rien ne vienne perturber le cours des choses.
« C’est comme ça », « Let it be », disent les anglais.
Pour certains ce schéma de vie peut paraitre tranquille, sauf que l’ennui et la dépression sont souvent en arrière-plan.
Quelquefois, le réveil a lieu à l’approche de la mort ouvrant le champ aux regrets ou aux ressentiments.
On peut déjà se poser la simple question: « Suis-je bien dans ma vie? »
Si la réponse est positive, pourquoi changer quoi que ce soit?
Seul votre curseur bien-être est valable!
En revanche, si vous répondez par la négative à cette question, il est temps d’agir, et pour celà il n’y a pas d’âge limite!
C’est à chacun de choisir, se contenter d’exister ou décider de vivre ?
Vivre est tout l’inverse d’un temps linéaire qui passe tel un encéphalogramme plat. Vivre c’est se sentir vivant, à chaque instant.
Comment savoir si l’on est heureux ?
D’un point de vue « énergétique » la règle est sans appel: lorsque nous sommes bien dans ce que l’on vit, nous développons compassion, partage et joie de vivre!
Les attitudes négatives (critiques, plaintes, colères, jugements etc…) sont rarement un signe d’épanouissement.
De même que les addictions ou dépendances comme le travail, le sexe, le shopping, le sommeil, la nourriture, l’alcool, le sport, les jeux ou la drogue, qui masquent fréquemment une fuite de soi. La société en est souvent complice en valorisant des comportements addictifs, sous l’appellation du « bon vivant », pour mieux vous vendre le remède qui vous en guérira.
Se sentir épanoui et heureux est loin de tout cela. Laissons le « bon vivant » au profit du « bien vivant ». Le travail sur soi est une démarche qui nous aide à être acteur de notre vie et à devenir qui nous sommes vraiment.
La première étape nous invite à apprendre à mieux nous connaître, voire à faire connaissance avec Soi.
On pense tous bien se connaitre , mais qu’en est-il vraiment?
Sous cette fausse évidence, les faux semblants ou les injonctions que l’on se fait à soi-même sans jamais les appliquer sont fréquentes : « évidement qu’il faut être positif » me dit-on parfois tout en décrivant le verre à moitié vide de sa vie.
Faire appel à un coach ayant une approche holistique, est une des voies les plus efficaces et rapides pour dépasser un blocage amoureux, professionnel, relationnel.
Le coaching, en plus de vous permettre d’atteindre votre objectif, vous permet de faire le tri entre vos héritages émotionnels reçus (enfance, passé transgénérationnel) et vos masques de protection.
Cette connaissance de vous même vous permet de transcender vos faiblesses et vous appuyer sur vos forces pour devenir qui vous êtes vraiment.
C’est en sachant profondément qui l’on est que l’on passe à la deuxième étape: s’accepter.
Certains pardons sont nécessaires pour arriver au stade de l’acceptation de soi;
Je rappelle qu’ « On ne pardonne pas parce que l’autre est pardonnable, on pardonne pour ressentir la paix intérieure ».
C’est lorsqu’on décide de regarder ses forces et ses faiblesses avec bienveillance, qu’on accepte son imperfection et par conséquent celle des autres.
La troisième étape, et non des moindres : s’aimer.
« Vous êtes votre plus grande histoire d’amour ». Si vous ne vous apportez pas à vous-même tout ce dont vous avez besoin vous devenez des mendiants de l’amour, vous réclamez insidieusement aux autres de vous valider en tant que personne.
« On ne peut donner que ce que l’on possède déjà».
Vous ne pourrez donc jamais aimer sincèrement les autres si vous ne vous donnez pas l’amour dont vous avez besoin.
Il est important de différencier amour de soi et égoïsme ou égocentrisme.
L’égoïsme est un amour exclusif de soi-même, qui se développe souvent au détriment des autres, se faire du bien sans prendre en considération les autres, peu importe ce qu’ils ressentent je fais ce que je veux!
S’aimer c’est être bienveillant et doux avec soi-même, c’est s’occuper de son être en priorité et être heureux de la personne que l’on est.
Cet état de bien-être permet d’être à l’écoute des autres et de les aimer sincèrement.
La finalité du travail sur soi (même si l’on sait que le travail n’est jamais réellement terminé, car on peut toujours aller plus loin dans le processus) réside dans la réalisation, dans la mise en action de la vie que l’on veut vraiment vivre.
Libéré des blocages, et du regard des autres, on peut vivre en parfaite cohérence avec qui l’on est vraiment et jouir de la vie dans sa propre vérité.